L'étude des batailles menées au Moyen-Orient notamment par l'Armée égyptienne et syrienne démontre que le BMP-1 n'est puissant que sur le papier. Son canon de 73 mm est trop imprécis, et les missiles Sagger utilisés sont trop compliqués à mettre en œuvre pour être réellement efficaces. Dans ces conditions, une nouvelle version est étudiée dans les années 1980 : le BMP-2.